• C'est pourtant moi qui avais appris à marcher à Ephraïm, les prenant par les bras, mais ils n'ont pas reconnu que je prenais soin d'eux. - Lire dans le contexte

Versets semblables

  • et dans le désert où tu as vu le SEIGNEUR ton Dieu te porter comme un homme porte son fils, tout au long de la route que vous avez parcourue pour arriver jusqu'en ce lieu. »
  • Pour toi, je fais poindre la convalescence, je te guéris de tes blessures — oracle du SEIGNEUR —, parce qu'on te nomme : « Rebut, cette Sion dont personne ne se soucie. »
  • Il dit : « Si tu entends bien la voix du SEIGNEUR, ton Dieu, si tu fais ce qui est droit à ses yeux, si tu prêtes l'oreille à ses commandements, si tu gardes tous ses décrets, je ne t'infligerai aucune des maladies que j'ai infligées à l'Egypte, car c'est moi le SEIGNEUR qui te guéris. »
  • Tu te souviendras de toute la route que le SEIGNEUR ton Dieu t'a fait parcourir depuis quarante ans dans le désert, afin de te mettre dans la pauvreté ; ainsi il t'éprouvait pour connaître ce qu'il y avait dans ton coeur et savoir si tu allais, oui ou non, observer ses commandements.
  • pendant quarante ans environ, il les a nourris au désert ;
  • L'Assyrie ne peut nous sauver, nous ne monterons pas sur un cheval et nous ne dirons plus “Notre Dieu” à l'ouvrage de nos mains — ô toi par qui l'orphelin est pris en pitié ! »
  • Moi, j'avais dirigé, fortifié leur bras, et ils machinaient le mal à mon endroit.
  • Au moment même où je veux guérir Israël, se dévoilent la faute d'Ephraïm et les crimes de Samarie : oui, l'on pratique l'imposture ; le voleur s'introduit dans les maisons ; au-dehors, le brigand sévit.
  • C'est pourquoi je vais fermer ton chemin avec des ronces, le barrer d'une barrière — et elle ne trouvera plus ses sentiers.
  • N'y a-t-il pas de baume en Galaad, pas de médecin là-bas ? Pourquoi ne voit-on pas poindre la convalescence de mon peuple ?
  • « Pourquoi, dit-il au SEIGNEUR, veux-tu du mal à ton serviteur ? Pourquoi suis-je en disgrâce devant toi au point que tu m'imposes le fardeau de tout ce peuple ?
  • Ecoutez-moi, maison de Jacob, tout le Reste de la maison d'Israël, vous qui, depuis le sein maternel, êtes pris en charge et portés haut depuis les entrailles maternelles.
  • La lumière de la lune sera comme celle du soleil, et la lumière du soleil sera multipliée par sept — comme la lumière de sept jours — lorsque le SEIGNEUR bandera les plaies de son peuple et soignera les blessures qu'il a reçues.
  • Ecoutez, cieux ! Terre, prête l'oreille ! C'est le SEIGNEUR qui parle : J'ai fait grandir des fils, je les ai élevés, eux, ils se sont révoltés contre moi.
  • Il rencontre son peuple au pays du désert, dans les solitudes remplies de hurlements sauvages : il l'entoure, il l'instruit, il veille sur lui comme sur la prunelle de son oeil.

En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV