- Dites à vos frères : « Ammi, mon peuple », et à vos soeurs : « Rouhama, Bien-aimée ». - Lire dans le contexte
Versets semblables
- Dans toutes tes abominations et tes débauches, tu ne t'es pas souvenue des jours de ta jeunesse, quand tu étais nue et sans vêtements, quand tu te débattais dans ton sang.
- sur la terre de mon peuple où montent les buissons d'épines, sur toutes les maisons joyeuses de la cité en liesse.
- Tu en viens à te demander : « Pourquoi cela m'arrive-t-il ? » C'est à cause de ta grande perversion qu'on retrousse ta jupe et qu'on te fait violence.
- Voici venir des jours — oracle du Seigneur, mon DIEU — où je répandrai la famine dans le pays, non pas la faim du pain, ni la soif de l'eau, mais celle d'entendre la parole du SEIGNEUR.
- Et maintenant, elle est plantée dans le désert, dans un pays d'aridité et de soif.
- Notre Maison sainte et splendide où nos pères chantaient tes louanges, a été embrasée par le feu, et tout ce qui faisait notre passion devenu dévastation !
- eh bien, je vais rassembler tous les amants auxquels tu as plu, tous ceux que tu as aimés, outre ceux que tu as haïs ; je les rassemblerai contre toi de partout, je dévoilerai devant eux ta nudité ; ils verront toute ta nudité.
- A ta naissance, au jour où tu es née, on ne t'a pas coupé le cordon, tu n'as pas été lavée dans l'eau pour être purifiée ; tu n'as pas été frottée de sel ni enveloppée de langes.
- Ses villes deviennent des lieux désolés, un pays de sécheresse et de steppes, un pays où plus personne n'habite, où aucun être humain ne passe.
- Oui, ainsi parle le SEIGNEUR au sujet de la maison du roi de Juda : Même si tu es pour moi un Galaad, un sommet du Liban, je n'hésite pas à te transformer en désert, en ville inhabitée.
- Pareil à un arbuste dans la steppe, il ne voit pas venir le bonheur : il hante les champs de lave du désert, une terre salée, inhabitable.
- Eh bien ! moi, je vais retirer ta jupe par-dessus ta figure, et on verra ton sexe.
- Le pays est en deuil, il dépérit. Le Liban perd la face, il se flétrit. Le Sharôn devient comme la Araba. Le Bashân et le Carmel se dégarnissent.
- — Vous, hommes de ce temps, comprenez la parole du SEIGNEUR ! — Suis-je devenu un désert pour Israël ? Le pays de la nuit noire ? Pourquoi ceux de mon peuple disent-ils : « Nous allons où nous voulons, nous ne viendrons plus à toi » ?
- Ils n'ont pas dit : « Où est le SEIGNEUR qui nous a fait monter du pays d'Egypte, qui fut notre guide au désert, au pays des steppes et des pièges, pays de la sécheresse et de l'ombre mortelle, pays où nul ne passe, où personne ne réside ? »
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV