• Celui qui méprise son prochain, est dépourvu de sens; mais l'homme prudent se tait. - Lire dans le contexte

Versets semblables

  • Celui qui méprise son prochain, s'égare; mais celui qui a pitié des affligés, est heureux.
  • Qui, outragé, ne rendait point d'outrages; et maltraité, ne faisait point de menaces, mais s'en remettait à celui qui juge justement;
  • Y a-t-il quelqu'un des chefs ou des pharisiens qui ait cru en lui?
  • Il dit aussi cette parabole, au sujet des gens persuadés en eux-mêmes qu'ils étaient justes, et qui méprisaient les autres:
  • Les pharisiens, qui étaient avares, écoutaient tout cela, et se moquaient de lui.
  • Où il y a beaucoup de paroles, il ne manque pas d'y avoir du péché; mais celui qui retient ses lèvres est prudent.
  • Aie pitié de nous, Éternel, aie pitié de nous, car nous sommes rassasiés de mépris!
  • Et dit, en la présence de ses frères et des gens de guerre de Samarie: Que font ces Juifs languissants? Les laissera-t-on faire? Sacrifieront-ils? Achèveront-ils maintenant? De ces monceaux de décombres feront-ils renaître les pierres, quand elles sont brûlées?
  • Mais le peuple se tut et ne lui répondit pas un mot. Car le roi l'avait ainsi ordonné, en disant: Vous ne lui répondrez pas.
  • Mais il y eut des hommes pervers qui dirent: Comment celui-ci nous délivrerait-il? Et ils le méprisèrent, et ne lui apportèrent point de présent; mais il fit le sourd.
  • Alors Zébul lui dit: Où est maintenant ta vanterie, quand tu disais: Qui est Abimélec, pour que nous le servions? N'est-ce pas là le peuple que tu méprisais? Sors donc, maintenant, et combats contre eux!
  • Ils sortirent dans la campagne, vendangèrent leurs vignes, en foulèrent les raisins, et firent bonne chère. Puis ils entrèrent dans la maison de leur dieu, mangèrent et burent, et maudirent Abimélec.

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