- Qui méprise son prochain manque de sens ; l'homme raisonnable garde le silence. - Lire dans le contexte
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- Qui méprise son prochain pèche, mais qui a pitié des humbles est heureux.
- lui qui, insulté, ne rendait pas l'insulte, dans sa souffrance, ne menaçait pas, mais s'en remettait au juste Juge ;
- Parmi les notables ou parmi les Pharisiens, en est-il un seul qui ait cru en lui ?
- Il dit encore la parabole que voici à certains qui étaient convaincus d'être justes et qui méprisaient tous les autres :
- Les Pharisiens, qui aimaient l'argent, écoutaient tout cela, et ils ricanaient à son sujet.
- Où abondent les paroles le péché ne manque pas, mais qui refrène son langage est un homme avisé.
- Pitié, SEIGNEUR, pitié ! car nous sommes saturés de mépris,
- Ils se liguèrent tous ensemble pour venir attaquer Jérusalem et lui causer du dégât.
- Le peuple garda le silence et ne lui répondit pas un mot, car l'ordre du roi était : « Vous ne lui répondrez pas ! »
- Mais des vauriens dirent : « Comment celui-ci nous sauverait-il ? » Ils le méprisèrent et ne lui apportèrent pas de présent. Mais lui resta indifférent.
- Zevoul lui dit : « Où est ta langue, toi qui disais : “Qu'est-ce qu'un Abimélek pour que nous lui soyons asservis ? ” N'est-ce pas là cette troupe que tu méprisais ? Sors donc maintenant et livre-lui combat. »
- Ceux-ci sortirent dans les champs pour vendanger leurs vignes ; ils foulèrent le raisin, puis organisèrent des réjouissances. Ils vinrent au temple de leur dieu, mangèrent et burent, puis ils maudirent Abimélek.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV