- L'homme de rien produit le malheur, c'est comme un feu brûlant sur ses lèvres. - Lire dans le contexte
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- la langue aussi est un feu. C'est le monde du mal, cette langue placée parmi nos membres : elle souille tout le corps ; elle enflamme le cycle de la création, enflammée qu'elle est par la Géhenne.
- N'est-ce point la volonté de Yahvé Sabaot que les peuples peinent pour le feu, que les nations s'épuisent pour le néant ?
- Malheur à qui tire la faute avec les liens de la tromperie, et le péché comme avec un trait de chariot ;
- La fourberie au coeur, méditant le mal en toute saison, il suscite des querelles.
- Un vaurien, un homme inique, il va, la bouche torse,
- si tu la recherches comme l'argent, si tu la creuses comme un chercheur de trésor,
- que des cieux il envoie et me sauve, qu'il confonde celui qui me harcèle,
- [Quand Doèg l'Edomite vint avertir Saül en lui disant : « David est entré dans la maison d'Ahimélek. »]
- des mortels, par ta main, Yahvé, des mortels qui, dans la vie, ont leur part de ce monde ! Avec tes réserves tu leur rempliras le ventre, leurs fils seront rassasiés et ils laisseront le surplus à leurs enfants.
- Or, il se trouvait là un vaurien, qui s'appelait Shéba, fils de Bikri, un Benjaminite. Il sonna du cor et dit : « Nous n'avons pas de part avec David, nous n'avons pas d'héritage sur le fils de Jessé ! Chacun à ses tentes, Israël ! »
- Reconnais maintenant et vois ce que tu dois faire, car la perte de notre maître et de toute sa maison est une affaire réglée, et c'est un vaurien à qui on ne peut rien dire. »
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV