• Un fr?re offensé se rend plus difficile qu'une ville forte, et les discordes en sont comme les verrous d'un palais. - Lire dans le contexte

Versets semblables

  • Sur quoi il y eut entre eux une contestation qui fit qu'ils se sépar?rent l'un de l'autre, et que Barnabas prenant Marc, navigua en Cypre.
  • Celui qui est tardif ? col?re, vaut mieux que l'homme fort; et celui qui est le ma?tre de son coeur, vaut mieux que celui qui prend des villes.
  • Le faux témoin qui prof?re des mensonges; et celui qui s?me des querelles entre les fr?res.
  • Et quand tout Isra?l eut vu que le Roi ne les avait point écoutés, le peuple fit cette réponse au Roi, en disant: Quelle part avons-nous en David? nous n'avons point d'héritage au fils d'Isa?. Isra?l, retire-toi dans tes tentes; et toi David pourvois maintenant ? ta maison; ainsi Isra?l s'en alla dans ses tentes.
  • Alors le Roi Salomon jura par l'Eternel, en disant: Que Dieu me fasse ainsi, et qu'ainsi il y ajoute, si Adonija n'a dit cette parole contre sa vie!
  • Or Absalom avait commandé ? ses serviteurs, en disant: Prenez bien garde, je vous prie, quand le coeur d'Amnon sera gai de vin, et que je vous dirai: Frappez Amnon, tuez-le; ne craignez point; n'est-ce pas moi qui vous l'aurai commandé? Fortifiez-vous, et portez-vous en vaillants hommes.
  • Or Absalom ne parlait ni en bien ni en mal ? Amnon, parce qu'Absalom ha?ssait Amnon, ? cause qu'il avait violé Tamar sa soeur.
  • Et ils le virent de loin; et avant qu'il approch?t d'eux, ils complot?rent contre lui, pour le tuer.
  • Et ses fr?res eurent de l'envie contre lui; mais son p?re retenait ses discours.
  • Or Isra?l aimait Joseph plus que tous ses autres fils, parce qu'il l'avait eu en sa vieillesse, et il lui fit une robe bigarrée.
  • Et les messagers retourn?rent ? Jacob, et lui dirent: Nous sommes venus vers ton fr?re Esaü, et m?me il vient au-devant de toi, ayant quatre cents hommes avec lui.
  • Et Esaü eut en haine Jacob, ? cause de la bénédiction dont son p?re l'avait béni, et il dit en son coeur: Les jours du deuil de mon p?re approchent, et alors je tuerai Jacob mon fr?re.
  • Mais il n'eut point d'égard ? Ca?n, ni ? son oblation; et Ca?n fut fort irrité, et son visage fut abattu.
  • Abija donc et son peuple en firent un fort grand carnage, de sorte qu'il tomba d'Isra?l cinq cent mille hommes d'élite, blessés ? mort.

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