- car Yahvé épouse leur querelle et ravit à leurs ravisseurs la vie. - Lire dans le contexte
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- ceux qui disent : « La langue est notre fort, nos lèvres sont pour nous, qui serait notre maître ? »
- Ayant appris que Nabal était mort, David dit : « Béni soit Yahvé qui m'a rendu justice pour l'injure que j'avais reçue de Nabal et qui a retenu son serviteur de commettre le mal. Yahvé a fait retomber la méchanceté de Nabal sur sa propre tête. » David envoya demander Abigayil en mariage.
- car leur vengeur est puissant, c'est lui qui épousera, contre toi, leur querelle.
- que le calomniateur ne tienne plus sur la terre, que le mal pourchasse à mort le violent !
- C'est pourquoi ainsi parle Yahvé : Voici, je prends en main ta cause et j'assure ta vengeance. Je vais assécher son fleuve et tarir ses sources.
- Tous mes os diront : Yahvé, qui est comme toi pour délivrer le petit du plus fort, le pauvre du spoliateur ?
- Je m'approcherai de vous pour le jugement et je serai un témoin prompt contre les devins, les adultères et les parjures, contre ceux qui oppriment le salarié, la veuve et l'orphelin, et qui violent le droit de l'étranger, sans me craindre, dit Yahvé Sabaot.
- Je dois porter la colère de Yahvé, puisque j'ai péché contre lui, jusqu'à ce qu'il juge ma cause et me fasse justice ; il me fera sortir à la lumière, et je contemplerai ses justes oeuvres.
- Chantez à Dieu, jouez pour son nom, frayez la route au Chevaucheur des nuées, jubilez en Yahvé, dansez devant sa face.
- Mais leur Rédempteur est puissant, Yahvé Sabaot est son nom. Il va prendre en main leur cause afin de donner du repos au pays, mais de faire trembler les habitants de Babylone.
- Malheur à toi qui détruis et n'es pas détruit, qui es traître alors qu'on ne te trahit pas ; quand tu auras fini de détruire, tu seras détruit, quand tu auras terminé tes trahisons, on te trahira.
- Juge-moi, Dieu, défends ma cause contre des gens sans amour ; de l'homme perfide et pervers, délivre-moi.
- De David. Accuse, Yahvé, mes accusateurs, assaille mes assaillants ;
- Après qui le roi d'Israël s'est-il mis en campagne, après qui cours-tu ? Après un chien crevé, après une simple puce !
- O mon père, vois, vois donc le pan de ton manteau dans ma main : puisque j'ai pu couper le pan de ton manteau et que je ne t'ai pas tué, reconnais clairement qu'il n'y a chez moi ni méchanceté ni crime. Je n'ai pas péché contre toi alors que, toi, tu tends des embûches à ma vie pour me l'enlever.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV