- Celui qui partage avec le voleur se hait : il entend l'adjuration et ne le dénonce pas. - Lire dans le contexte
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- « Quand un individu pèche en ce que, ayant entendu la formule d'adjuration et étant témoin pour avoir vu ou avoir appris quelque chose, il n'annonce pas ce qu'il sait, alors il porte le poids de sa faute ;
- Mais celui qui m'offense se blesse lui-même. Tous ceux qui me haïssent aiment la mort.
- Et il les enseignait et leur disait : « N'est-il pas écrit : Ma maison sera appelée maison de prière pour toutes les nations ? Mais vous, vous en avez fait une caverne de bandits. »
- Tes chefs sont des rebelles, complices des voleurs. Tous, ils aiment les présents, ils courent après les gratifications. Ils ne rendent pas justice à l'orphelin, et la cause de la veuve n'arrive pas jusqu'à eux.
- Qui rejette l'éducation se méprise lui-même, mais qui écoute l'avertissement acquiert du bon sens.
- Qui commet l'adultère avec une femme est un dément, il fait d'elle la ruine de sa vie.
- S'ils disent : « Viens avec nous, embusquons-nous pour verser le sang ! Par plaisir, nous allons surprendre l'innocent !
- Si tu vois un voleur, tu deviens son complice, tu prends ta place chez les adultères.
- Comme fait un rugissement de lion, ainsi la peur du roi ; qui l'irrite met sa vie en péril.
- Il dit à sa mère : « Les onze cents sicles d'argent qu'on t'a pris et à propos desquels tu as proféré une malédiction que tu m'as même répétée, eh bien, cet argent, je l'ai ; c'est moi qui l'avais pris ! » Sa mère dit : « Sois béni du SEIGNEUR, mon fils ! »
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