- Son train prosp?re en tout temps; tes jugements sont éloignés de devant lui; il souffle contre tous ses adversaires. - Lire dans le contexte
Versets semblables
- A cause du mauvais traitement que l'on fait aux affligés, ? cause du gémissement des pauvres, je me l?verai maintenant, dit l'Eternel, je mettrai en s?reté celui ? qui l'on tend des pi?ges.
- Eternel, ta main est-elle haut élevée? ils ne l'aper?oivent point; mais ils l'apercevront, et ils seront honteux ? cause de la jalousie que tu montres en faveur de ton peuple; et le feu dont tu punis tes ennemis les dévorera.
- Car vous avez dit: nous avons fait accord avec la mort, et nous avons intelligence avec le sépulcre; quand le fléau débordé traversera, il ne viendra point sur nous, car nous avons mis le mensonge pour notre retraite, et nous nous sommes cachés sous la fausseté.
- Malheur ? ceux qui font des ordonnances d'iniquité, et qui dictent l'oppression qu'on leur a dictée.
- La harpe, la musette, le tambour, la fl?te, et le vin sont dans leurs festins; et ils ne regardent point l'oeuvre de l'Eternel, et ne voient point l'ouvrage de ses mains.
- Ne porte point d'envie aux hommes malins, et ne désire point d'?tre avec eux.
- Le chemin de la vie tend en haut pour l'homme prudent, afin qu'il se retire du sépulcre qui est en bas.
- Desquels les chemins sont tortus, et qui vont de travers en leur train.
- De ceux qui laissent les chemins de la droiture pour marcher par les voies de tén?bres;
- Tel est le train de tout homme convoiteux de gain déshonn?te, lequel enl?vera la vie de ceux qui y sont adonnés.
- ? Eternel! que tes oeuvres sont magnifiques! tes pensées sont merveilleusement profondes.
- Alors voici un Proph?te qui vint vers Achab Roi d'Isra?l, et qui lui dit: Ainsi a dit l'Eternel, n'as-tu pas vu cette grande multitude? Voil?, je m'en vais la livrer aujourd'hui entre tes mains, et tu sauras que je suis l'Eternel.
- Et Ben-hadad renvoya vers lui, en disant: Ainsi me fassent les dieux, et ainsi ils y ajoutent, si la poudre de Samarie suffit pour remplir le creux de la main de tous ceux du peuple qui me suivent.
- Or le Roi s'en alla avec ses gens ? Jérusalem contre les Jébusiens qui habitaient en ce pays-l?, lesquels dirent ? David: Tu n'entreras point ici que tu n'aies ?té les aveugles et les boiteux; voulant dire, David n'entrera point ici.
- Et Zébul lui dit: O? est maintenant ta vanterie, quand tu disais: Qui est Abimélec, que nous le servions? N'est-ce pas ici ce peuple que tu as méprisé? Sors maintenant, je te prie, et combats contr'eux.
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