- Les montagnes saut?rent comme des moutons, et les coteaux comme des agneaux. - Lire dans le contexte
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- Or le mont de Sina? était tout couvert de fumée, parce que l'Eternel y était descendu en feu; et sa fumée montait comme la fumée d'une fournaise, et toute la montagne tremblait fort.
- Il s'arr?ta, et mesura le pays; il regarda, et fit tressaillir les nations; les montagnes qui ont été de tout temps, furent brisées, et les coteaux des si?cles se baiss?rent; les chemins du monde sont ? lui.
- ? Eternel! quand tu sortis de Séhir, quand tu marchas du territoire d'Edom, la terre fut ébranlée, m?me les cieux fondirent, les nuées, dis-je, fondirent en eaux.
- Puis je vis un grand tr?ne blanc, et quelqu'un assis dessus, de devant lequel s?enfuit la terre et le ciel; et il ne se trouva point de lieu pour eux.
- Mais les cieux et la terre qui sont maintenant, sont réservés par la m?me parole, étant gardés pour le feu au jour du jugement, et de la destruction des hommes impies.
- L'Eternel était-il courroucé contre les fleuves? ta col?re était-elle contre les fleuves? ta fureur était-elle contre la mer, lorsque tu montas sur tes chevaux et sur tes chariots pour délivrer.
- Les montagnes tremblent ? cause de lui, et les coteaux s'écoulent; la terre monte en feu ? cause de sa présence, la terre, dis-je, habitable, et tous ceux qui y habitent.
- Car voici, l'Eternel s'en va sortir de son lieu, il descendra, et marchera sur les lieux hauts de la terre;
- J'ai regardé la terre, et voici, elle est sans forme et vide; et les cieux, et il n'y a point de clarté.
- Pourquoi lui insultez-vous, montagnes dont le sommet est élevé? Dieu a désiré cette montagne pour y habiter, et l'Eternel y demeurera ? jamais.
- Certainement l'homme se prom?ne parmi ce qui n'a que de l'apparence; certainement on s'agite inutilement; on amasse des biens, et on ne sait point qui les recueillera.
- Et les fait sauter comme un veau: il fait sauter le Liban et Sirion, comme un faon de licorne.
- Alors la terre fut ébranlée, et trembla; et les fondements des montagnes croul?rent, et furent ébranlés, parce qu'il était irrité.
- Or tout le peuple apercevait les tonnerres, les éclairs, le son du cor, et la montagne fumante; et le peuple voyant cela tremblait, et se tenait loin.
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