- A toute perfection j'ai vu une limite, mais ton commandement est d'une ampleur infinie. - Lire dans le contexte
Versets semblables
- Vivante, en effet, est la parole de Dieu, énergique et plus tranchante qu'aucun glaive à double tranchant. Elle pénètre jusqu'à diviser âme et esprit, articulations et moelles. Elle passe au crible les mouvements et les pensées du coeur.
- Vanité des vanités, a dit le Qohéleth, tout est vanité.
- Car aucun homme n'est assez juste sur terre pour faire le bien sans pécher.
- Mais je me suis tourné vers toutes les oeuvres qu'avaient faites mes mains et vers le travail que j'avais eu tant de mal à faire. Eh bien ! tout cela est vanité et poursuite de vent, on n'en a aucun profit sous le soleil.
- Vanité des vanités, dit Qohéleth, vanité des vanités, tout est vanité.
- SEIGNEUR, fais-moi connaître ma fin et quelle est la mesure de mes jours, que je sache combien je suis éphémère !
- D'un bout du ciel il surgit, il vire à l'autre bout, et rien n'échappe à sa chaleur.
- On prit Absalom et on le jeta dans la forêt, dans une grande fosse, et l'on érigea dessus un énorme tas de pierres. Tout Israël s'était enfui, chacun à ses tentes.
- Joab dit : « Je ne vais pas attendre ainsi devant toi ! » Il prit donc en main trois épieux et les planta dans le coeur d'Absalom, encore vivant au milieu du térébinthe.
- Quand Ahitofel s'aperçut qu'on ne mettait pas son conseil à exécution, il sella son âne, se mit en route et s'en alla chez lui, dans sa ville. Il donna ses ordres à sa famille et se pendit. Après sa mort, il fut enseveli dans la tombe de son père.
- Les conseils que donnait Ahitofel en ce temps-là avaient valeur d'oracle. Il en était ainsi de tous les conseils d'Ahitofel, aussi bien pour David que pour Absalom.
- Il n'y avait personne dans tout Israël d'aussi beau qu'Absalom, d'aussi vanté que lui : de la plante des pieds au sommet de la tête, il était sans défaut.
- Saül dit à son écuyer : « Dégaine ton épée et transperce-moi, de peur que ces incirconcis ne viennent me transpercer et ne se jouent de moi. » Mais son écuyer refusa, car il avait très peur. Alors Saül prit l'épée et se jeta sur elle.
- David mit prestement la main dans son sac, y prit une pierre, la lança avec la fronde et frappa le Philistin au front. La pierre s'enfonça dans son front, et il tomba la face contre terre.
- Il se campa, et il interpella les lignes d'Israël. Il leur dit : « A quoi bon sortir vous ranger en bataille ? Ne suis-je pas le Philistin, et vous des esclaves de Saül ? Choisissez-vous un homme, et qu'il descende vers moi !
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV