- Pendant leurs maladies, moi je revêtais un sac, je m'humiliais en jeûnant et je ruminais ma prière. - Lire dans le contexte
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- Pourtant, n'ai-je point pleuré avec ceux qui ont la vie dure ? Mon coeur ne s'est-il pas serré à la vue du pauvre ?
- si cette maison en est digne, que votre paix vienne sur elle ; mais si elle n'en est pas digne, que votre paix revienne à vous.
- Oui, le zèle pour ta maison m'a dévoré ; ils t'insultent, et leurs insultes retombent sur moi.
- Et s'il s'y trouve un homme de paix, votre paix ira reposer sur lui ; sinon, elle reviendra sur vous.
- Bénissez ceux qui vous persécutent ; bénissez et ne maudissez pas.
- Alors les disciples de Jean l'abordent et lui disent : « Pourquoi, alors que nous et les Pharisiens nous jeûnons, tes disciples ne jeûnent-ils pas ? »
- Et moi, je vous dis : Aimez vos ennemis et priez pour ceux qui vous persécutent,
- Doit-il être comme cela, le jeûne que je préfère, le jour où l'homme s'humilie ? S'agit-il de courber la tête comme un jonc, d'étaler en litière sac et cendre ? Est-ce pour cela que tu proclames un jeûne, un jour en faveur auprès du SEIGNEUR ?
- « Que nous sert de jeûner, si tu ne le vois pas, de nous humilier, si tu ne le sais pas ? » Or, le jour de votre jeûne, vous savez tomber sur une bonne affaire, et tous vos gens de peine, vous les brutalisez !
- Quand Akhab entendit ces paroles, il déchira ses vêtements, se mit un sac à même la peau et jeûna ; il dormait sur ce sac et marchait à pas lents.
- C'est pour vous un sabbat, un jour de repos, où vous jeûnez. Loi immuable.
- C'est pour vous une loi immuable : au septième mois, le dix du mois, vous jeûnez et vous ne faites aucun ouvrage, tant l'indigène que l'émigré installé parmi vous.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV