- Je demande donc : est-ce pour une chute définitive qu'ils ont trébuché ? Certes non ! Mais grâce à leur faute, les païens ont accédé au salut, pour exciter la jalousie d'Israël. - Lire dans le contexte
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- dans l'espoir d'exciter la jalousie de ceux de mon sang et d'en sauver quelques-uns.
- Je demande alors : Israël n'aurait-il pas compris ? Déjà Moïse dit : Je vous rendrai jaloux de ce qui n'est pas une nation ; contre une nation inintelligente j'exciterai votre dépit.
- Est-ce que vraiment je prendrais plaisir à la mort du méchant — oracle du Seigneur DIEU — et non pas plutôt à ce qu'il se détourne de ses chemins et qu'il vive ?
- de même eux aussi ont désobéi maintenant, par suite de la miséricorde exercée envers vous, afin qu'ils soient maintenant eux aussi objet de la miséricorde.
- Or, si leur faute a fait la richesse du monde, et leur déchéance la richesse des païens, que ne fera pas leur totale participation au salut ?
- Je demande donc : Dieu aurait-il rejeté son peuple ? Certes non ! Car je suis moi-même Israélite, de la descendance d'Abraham, de la tribu de Benjamin.
- Les uns se laissaient convaincre par ce qu'il disait, les autres refusaient de croire.
- je vois le Seigneur qui me disait : “Vite, quitte Jérusalem sans tarder, car ils n'accueilleront pas le témoignage que tu me rendras.”
- Devant leur opposition et leurs injures, Paul secoua ses vêtements et leur déclara : « Que votre sang vous retombe sur la tête ! J'en suis pur, et désormais c'est aux païens que j'irai. »
- Paul et Barnabas eurent alors la hardiesse de déclarer : « C'est à vous d'abord que devait être adressée la parole de Dieu ! Puisque vous la repoussez et que vous vous jugez vous-mêmes indignes de la vie éternelle, alors nous nous tournons vers les païens.
- A leur sortie, on pria instamment Paul et Barnabas de reparler du même sujet le sabbat suivant.
- “Nos révoltes et nos péchés sont sur nous, nous pourrissons à cause d'eux, comment pourrons-nous vivre ? ” Dis-leur : Par ma vie — oracle du Seigneur DIEU —, est-ce que je prends plaisir à la mort du méchant ? Bien plutôt à ce que le méchant change de conduite et qu'il vive ! Revenez, revenez de votre méchante conduite : pourquoi faudrait-il que vous mouriez, maison d'Israël ?
- Je ne prends pas plaisir à la mort de celui qui meurt — oracle du Seigneur DIEU ; revenez donc et vivez ! »
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV