- Accueillez celui qui est faible dans la foi, sans critiquer ses scrupules. - Lire dans le contexte
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- Mais c'est un devoir pour nous, les forts, de porter l'infirmité des faibles et de ne pas rechercher ce qui nous plaît.
- J'ai partagé la faiblesse des faibles, pour gagner les faibles. Je me suis fait tout à tous pour en sauver sûrement quelques-uns.
- Accueillez-vous donc les uns les autres, comme le Christ vous a accueillis, pour la gloire de Dieu.
- Mais tous n'ont pas la connaissance. Quelques-uns, marqués par leur fréquentation encore récente des idoles, mangent la viande des sacrifices comme si elle était réellement offerte aux idoles, et leur conscience, qui est faible, en est souillée.
- Mieux vaut pour lui qu'on lui attache au cou une meule de moulin et qu'on le jette à la mer et qu'il ne fasse pas tomber un seul de ces petits.
- Ce qui est bien, c'est de ne pas manger de viande, de ne pas boire de vin, rien qui puisse faire tomber ton frère.
- En effet, voici que je vais susciter un berger dans ce pays : la brebis perdue, il ne s'en souciera pas ; celle qui s'est égarée, il ne la recherchera pas ; celle qui est blessée, il ne la soignera pas ; celle qui est bien portante, il ne l'améliorera pas. Il mangera les bêtes grasses et leur fendra le sabot. »
- Pour moi, frères, je n'ai pu vous parler comme à des hommes spirituels, mais seulement comme à des hommes charnels, comme à des petits enfants en Christ.
- Il ne faiblit pas dans la foi en considérant son corps — il était presque centenaire — et le sein maternel de Sara, l'un et l'autre atteints par la mort.
- En vérité, en vérité, je vous le dis, recevoir celui que j'enverrai, c'est me recevoir moi-même, et me recevoir c'est aussi recevoir celui qui m'a envoyé. »
- « Gardez-vous de mépriser aucun de ces petits, car, je vous le dis, aux cieux leurs anges se tiennent sans cesse en présence de mon Père qui est aux cieux.
- Qui accueille en mon nom un enfant comme celui-là, m'accueille moi-même.
- Vous n'avez pas fortifié les bêtes débiles, vous n'avez pas guéri la malade, vous n'avez pas fait de bandage à celle qui avait une patte cassée, vous n'avez pas ramené celle qui s'écartait, vous n'avez pas recherché celle qui était perdue, mais vous avez exercé votre autorité par la violence et l'oppression.
- La bête perdue, je la chercherai ; celle qui se sera écartée, je la ferai revenir ; celle qui aura une patte cassée, je lui ferai un bandage ; la malade, je la fortifierai. Mais la bête grasse, la bête forte, je la supprimerai ; je ferai paître mon troupeau selon le droit.
- Comme un berger il fait paître son troupeau, de son bras il rassemble ; il porte sur son sein les agnelets, procure de la fraîcheur aux brebis qui allaitent. » Dieu rassure : il rend courage à son peuple
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV