- Malheureux homme que je suis ! Qui me délivrera de ce corps qui appartient à la mort ? - Lire dans le contexte
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- Comprenons bien ceci : notre vieil homme a été crucifié avec lui pour que soit détruit ce corps de péché et qu'ainsi nous ne soyons plus esclaves du péché.
- L'Esprit du Seigneur est sur moi parce qu'il m'a conféré l'onction pour annoncer la Bonne Nouvelle aux pauvres. Il m'a envoyé proclamer aux captifs la libération et aux aveugles le retour à la vue, renvoyer les opprimés en liberté,
- Il s'est donné lui-même pour nous, afin de nous racheter de toute iniquité et de purifier un peuple qui lui appartienne, qui soit plein d'ardeur pour les belles oeuvres.
- La bouche grande ouverte, j'aspire, avide de tes commandements.
- Je me suis usé à attendre ton salut, j'ai espéré en ta parole.
- J'aime avec passion tes décisions de chaque instant.
- Il s'est penché du haut de son sanctuaire ; le SEIGNEUR, depuis les cieux, a regardé la terre,
- — Puisqu'il s'attache à moi, je le libère, je le protégerai car il connaît mon nom.
- On me compte parmi les moribonds ; me voici comme un homme fini,
- Au temps de ma détresse, je cherche le Seigneur. Dans la nuit, les mains tendues sans faiblir, je refuse tout réconfort.
- Oui, il délivrera le pauvre qui appelle, et les humbles privés d'appui.
- Ils disent : « Dieu l'a abandonné ; traquez-le, attrapez-le, personne n'ira le délivrer ! »
- car mes reins sont envahis par la fièvre, plus rien n'est intact dans ma chair.
- SEIGNEUR, châtie-moi sans courroux, corrige-moi sans fureur.
- Car chez les morts, on ne prononce pas ton nom. Aux enfers, qui te rend grâce ?
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV