- O homme ! vraiment, qui es-tu pour disputer avec Dieu ? L'oeuvre va-t-elle dire à celui qui l'a modelée : Pourquoi m'as-tu faite ainsi ? - Lire dans le contexte
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- Quelle perversité ! Le potier ressemble-t-il à l'argile pour qu'une oeuvre ose dire à celui qui l'a faite : « Il ne m'a pas faite », et un pot à son potier : « Il ne sait pas travailler » ?
- Malheur à qui discute avec celui qui l'a modelé, vase parmi les vases de terre ! L'argile dit-elle à son potier : « Que fais-tu ? ton oeuvre n'a pas de mains ! »
- Pourquoi lui chercher querelle parce qu'il ne te répond pas mot pour mot ?
- Yahvé, ne t'irrite pas à l'excès, ne garde pas à jamais le souvenir de la faute. Vois donc, nous sommes tous ton peuple.
- Je sais que tu es tout-puissant ce que tu conçois, tu peux le réaliser.
- L'adversaire de Shaddaï cédera-t-il ? Le censeur de Dieu va-t-il répondre ?
- Quel est celui-là qui obscurcit mes plans par des propos dénués de sens ?
- Qui lui a indiqué la voie à suivre, qui oserait lui dire : « Tu as commis l'injustice ? »
- « Y aura-t-il une fin à ces paroles en l'air ? » Ou encore : « Quel mal te pousse à te défendre ? »
- les disputes interminables de gens à l'esprit corrompu, privés de la vérité, aux yeux de qui la piété est une source de profits.
- Veux-tu savoir, homme insensé, que la foi sans les oeuvres est stérile ?
- Où est-il, le sage ? Où est-il, l'homme cultivé ? Où est-il, le raisonneur de ce siècle ? Dieu n'a-t-il pas frappé de folie la sagesse du monde ?
- Aussi es-tu sans excuse, qui que tu sois, toi qui juges. Car en jugeant autrui, tu juges contre toi-même : puisque tu agis de même, toi qui juges,
- n'ai-je pas le droit de disposer de mes biens comme il me plaît ? ou faut-il que tu sois jaloux parce que je suis bon ?"
- Veux-tu vraiment casser mon jugement, me condamner pour assurer ton droit ?
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV