- Non que la parole de Dieu ait été mise en échec : en effet, tous ceux qui sont de la postérité d'Israël ne sont pas Israël - Lire dans le contexte
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- Sur ceux qui se conduisent selon cette règle, paix et miséricorde, ainsi que sur l'Israël de Dieu.
- En effet, ce n'est pas ce qui se voit qui fait le Juif, ni la marque visible dans la chair qui fait la circoncision,
- Jésus regarde Nathanaël qui venait à lui et il dit à son propos : « Voici un véritable Israélite en qui il n'est point d'artifice. »
- Dieu n'est pas un homme pour mentir, ni un fils d'Adam pour se rétracter. Parle-t-il pour ne pas agir ? Dit-il une parole pour ne pas l'exécuter ?
- En ce sens, Dieu, voulant bien davantage montrer aux héritiers de la promesse le caractère irrévocable de sa décision, intervint par un serment.
- Je demande donc : Dieu aurait-il rejeté son peuple ? Certes non ! Car je suis moi-même Israélite, de la descendance d'Abraham, de la tribu de Benjamin.
- et père des circoncis, de ceux qui non seulement appartiennent au peuple des circoncis, mais marchent aussi sur les traces de la foi de notre père Abraham, avant sa circoncision.
- Quoi donc ? Si certains furent infidèles, leur infidélité va-t-elle annuler la fidélité de Dieu ?
- Si nous lui sommes infidèles, lui demeure fidèle, car il ne peut se renier lui-même.
- Il arrive donc à la Loi d'appeler dieux ceux auxquels la parole de Dieu fut adressée. Or nul ne peut abolir l'Ecriture.
- Le ciel et la terre passeront, mes paroles ne passeront pas.
- ainsi se comporte ma parole du moment qu'elle sort de ma bouche : elle ne retourne pas vers moi sans résultat, sans avoir exécuté ce qui me plaît et fait aboutir ce pour quoi je l'avais envoyée.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV