- Telle sera la ville joyeuse qui trônait en sécurité, celle qui se disait : « Moi et nulle autre ! » Comment est-elle devenue une terre désolée, un repaire pour les bêtes ? Quiconque passe près d'elle siffle et agite la main. - Lire dans le contexte
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- « Fils d'homme, dis au prince de Tyr : Ainsi parle le Seigneur DIEU : Parce que tu t'es enorgueilli, que tu as dit : “Je suis un dieu, je siège sur un trône divin au coeur des mers” alors que tu es homme et non Dieu, parce que tu t'es cru égal aux dieux...
- Irréparable, ton désastre, incurables, tes blessures ! Quiconque apprend de tes nouvelles applaudit à ton mal. Eh oui ! sur qui ta cruauté n'a-t-elle pas passé et repassé ?
- Devant celui qui va te tuer, oseras-tu dire : “Je suis un dieu”, alors que tu es homme et non Dieu et que tu es au pouvoir de ceux qui vont te transpercer ?
- ville tumultueuse et pleine de tapage, cité en liesse ? Tes morts ne sont pas morts par l'épée, ils n'ont pas été tués au combat.
- Tu disais : « je serai pour toujours, perpétuellement dominatrice ». Tu n'as pas réfléchi dans ton coeur au sens des événements, ni songé à leur suite.
- Femmes indolentes, levez-vous, écoutez-moi ! Filles insouciantes, prêtez l'oreille à ce que je vais dire :
- Tu aimes toute parole qui détruit, langue perfide !
- Autant elle s'est complu dans la gloire et le luxe, autant rendez-lui de tourment et de deuil. Puisqu'elle dit en son coeur : je trône en reine et ne suis point veuve, jamais je ne verrai le deuil,
- Les passants l'insultaient, hochant la tête
- Parle et dis : Ainsi parle le Seigneur DIEU : Je viens contre toi, Pharaon, roi d'Egypte, grand dragon tapi au milieu de ses Nils ; c'est toi qui as dit : “Il est à moi, mon Nil, et moi, je me suis fait moi-même.”
- Ceux qui trafiquent parmi les peuples sifflent à ton sujet : tu es devenue un objet d'épouvante. Pour toujours tu ne seras plus. »
- Ils applaudissent à tes dépens, tous les passants du chemin ; ils sifflent et hochent la tête aux dépens de la Belle Jérusalem : « Est-ce la Ville qu'on devrait dire beauté parfaite, réjouissance pour toute la terre ? »
- tu entonneras cette chanson sur le roi de Babylone : Comment a-t-il fini, l'oppresseur ? Comment a fini son arrogance ?
- Comment ! Elle habite à l'écart, la Ville qui comptait un peuple nombreux ! elle se trouve comme veuve. Elle, qui comptait parmi les nations, princesse parmi les provinces, elle est bonne pour le bagne.
- Je transformerai cette ville en un lieu désolé qui arrache des cris d'effroi ; qui passera près d'elle en sera stupéfait : à la vue de tels dégâts, il poussera un cri d'effroi.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV