- Elle n'a pas écouté l'appel, elle n'a pas accepté la leçon, elle n'a pas eu confiance dans le SEIGNEUR, elle ne s'est pas approchée de son Dieu. - Lire dans le contexte
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- SEIGNEUR, tes yeux ne sont-ils pas dans l'attente de la vérité ? Tu les frappes, mais ils n'en sont pas touchés ; tu les extermines, mais ils refusent de recevoir la leçon. Ils se font un visage plus dur que la pierre, ils refusent de revenir.
- car ils ne s'étaient pas fiés à Dieu, ils ne croyaient pas qu'il les sauverait.
- Je t'ai parlé au temps de ton insouciance ; tu as répondu : « Je ne veux rien entendre. » C'est ce que tu as fait depuis ta jeunesse, jamais tu n'as écouté ma voix !
- je ne leur ai demandé que ceci : « Ecoutez ma voix et je deviendrai Dieu pour vous, et vous, vous deviendrez un peuple pour moi, suivez bien la route que je vous trace et vous serez heureux. »
- C'est en vain que je frappe vos fils ; ils n'acceptent pas la leçon. Votre épée dévore vos prophètes, tel un lion ravageur.
- Mon bonheur à moi, c'est d'être près de Dieu ; j'ai pris refuge auprès du Seigneur DIEU , pour annoncer toutes tes actions.
- « — Ainsi parle le SEIGNEUR le tout-puissant, le Dieu d'Israël — va dire aux hommes de Juda et aux habitants de Jérusalem : Allez-vous enfin accepter la leçon et écouter mes paroles ? — oracle du SEIGNEUR.
- ils me présentent la nuque non la face ; bien que je les instruise inlassablement, ils n'écoutent pas et ils n'acceptent pas la leçon ;
- Ainsi parle le SEIGNEUR : Maudit, l'homme qui compte sur des mortels : sa force vive n'est que chair, son coeur se détourne du SEIGNEUR.
- Il est exclu, Jacob, que tu aies pu faire de moi ton invité, alors même, Israël, que pour moi tu t'es fatigué ;
- Malheur ! Ils descendent en Egypte pour y chercher du secours. Ils s'en remettent à des chevaux, ils font confiance aux chars parce qu'ils sont nombreux, aux cavaliers parce qu'ils sont en force, mais ils n'ont pas un regard pour le Saint d'Israël, ils ne cherchent pas le SEIGNEUR.
- Malheur ! Ce sont des fils rebelles — oracle du SEIGNEUR. Ils réalisent des plans qui ne sont pas les miens, ils concluent des traités contraires à mon esprit, accumulant ainsi péché sur péché.
- Dans sa suffisance, l'impie ne cherche plus : « Il n'y a pas de Dieu », voilà toute son astuce.
- Tu dirais alors : « Comment ai-je pu détester l'éducation ? Comment mon coeur a-t-il pu mépriser les avis ?
- La crainte du SEIGNEUR est le principe du savoir ; sagesse et éducation, seuls les fous s'en moquent.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV