- Je me suis donc mis ? pa?tre les brebis exposées ? la tuerie, qui sont véritablement les plus pauvres du troupeau. Puis je pris deux verges, dont j'appelai l'une Beauté; et l'autre, Cordon; et je me mis ? pa?tre les brebis. - Lire dans le contexte
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- Ainsi a dit l'Eternel mon Dieu: Pais les brebis exposées ? la tuerie;
- Puis je rompis ma seconde verge, appelée Cordon, pour rompre la fraternité entre Juda et Isra?l.
- Et toi, fils d'homme, prends un bois, et écris dessus: pour Juda, et pour les enfants d'Isra?l ses compagnons; prends encore un autre bois, et écris dessus: le bois d'Ephra?m et de toute la maison d'Isra?l ses compagnons, pour Joseph.
- Mais il jugera avec justice les chétifs, et il reprendra avec droiture, pour maintenir les débonnaires de la terre, et il frappera la terre par la verge de sa bouche, et fera mourir le méchant par l'esprit de ses l?vres.
- L'Esprit du Seigneur l'Eternel est sur moi, c'est pourquoi l'Eternel m'a oint pour évangéliser aux débonnaires, il m'a envoyé pour guérir ceux qui ont le coeur brisé, pour publier aux captifs la liberté, et aux prisonniers l'ouverture de la prison.
- Et je ferai demeurer de reste au milieu de toi un peuple affligé et chétif, qui auront leur retraite vers le Nom de l'Eternel.
- Et j'ai dit: certainement ce ne sont que les plus abjects, qui se sont montrés fous, parce qu'ils ne connaissent point la voie de l'Eternel, le droit de leur Dieu.
- Ecoutez, mes fr?res bien-aimés, Dieu n'a-t-il pas choisi les pauvres de ce monde, qui sont riches en la foi, et héritiers du Royaume qu'il a promis ? ceux qui l'aiment?
- Mais maintenant par Jésus-Christ, vous qui étiez autrefois loin, ?tes approchés par le sang de Christ.
- Afin que tous soient un, ainsi que toi, P?re, es en moi, et moi en toi; afin qu'eux aussi soient un en nous; et que le monde croie que c'est toi qui m'as envoyé.
- J'ai encore d'autres brebis qui ne sont pas de cette bergerie; et il me les faut aussi amener, et elles entendront ma voix, et il y aura un seul troupeau, et un seul berger.
- Puis donc que David lui-m?me l'appelle son Seigneur, comment est-il son fils? Et de grandes troupes prenaient plaisir ? l'entendre.
- Et le Philistin dit ? David: Suis-je un chien, que tu viennes contre moi avec des b?tons? et le Philistin maudit David par ses dieux.
- Voici, oh! Que c'est une chose bonne, et que c'est une chose agréable, que les fr?res s'entretiennent, qu'ils s'entretiennent, dis-je, ensemble!
- Puis je pris ma verge, appelée Beauté, et la mis en pi?ces pour rompre mon alliance que j'avais traitée avec tous ces peuples;
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