- Je vais faire de Jérusalem une coupe enivrante pour tous les peuples d'alentour. Il en sera de même de Juda lors du siège de Jérusalem. - Lire dans le contexte
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- Juda se joindra au combat de Jérusalem. Alors toutes les ressources des nations d'alentour seront rassemblées : or, argent, vêtements en quantités énormes.
- Ainsi parle ton Maître, le SEIGNEUR, ton Dieu, qui épouse la querelle de son peuple : Voici que j'ai retiré de ta main le calice du vertige, la coupe du calice de ma fureur désormais tu n'auras plus à la boire.
- C'est Dieu qui juge : il abaisse l'un, il relève l'autre.
- Resurgis, resurgis, mets-toi debout, Jérusalem, toi qui as bu de la main du SEIGNEUR le calice de sa fureur ; la coupe du calice de vertige tu l'as bue, tu l'as vidée.
- Payez-la de sa propre monnaie, rendez-lui au double ce qu'elle a fait. Dans la coupe où elle a mêlé ses vins, mêlez-en pour elle le double.
- La grande cité se brisa en trois parties et les cités des nations s'écroulèrent. Alors Dieu se souvint de Babylone la grande, pour lui donner la coupe où bouillonne le vin de sa colère.
- il boira lui aussi du vin de la fureur de Dieu, versé sans mélange dans la coupe de sa colère, et il connaîtra les tourments dans le feu et le soufre, devant les saints anges et devant l'agneau.
- Tu es gorgé d'infamie et non de gloire ! A ton tour de boire et d'exhiber ton prépuce : la coupe de la droite du SEIGNEUR se renverse sur toi, et après la gloire, c'est la déconvenue !
- J'enivre ses ministres et ses sages, ses préfets, ses gouverneurs et ses héros. Ils s'endormiront d'un sommeil sans fin, ils ne se réveilleront plus — oracle du Roi qui a pour nom : le SEIGNEUR le tout-puissant.
- Une coupe d'or dans la main du SEIGNEUR, c'était Babylone ! Elle enivrait toute la terre. Les nations ont bu de son vin ; elles en délirent.
- Oui, ainsi parle le SEIGNEUR : ceux qui ne devraient pas boire la coupe sont condamnés à la boire et toi tu serais quitte ? Non, tu ne seras pas quitte : tu la boiras certainement.
- Je pris la coupe de la main du SEIGNEUR et je l'offris à toutes les nations chez lesquelles le SEIGNEUR m'avait envoyé :
- Voici ce que me dit le SEIGNEUR, le Dieu d'Israël : « Prends de ma main cette coupe de vin, de vin capiteux, et offre-la à toutes les nations chez lesquelles je t'envoie.
- Pourquoi restons-nous immobiles ? Rassemblez-vous ! Entrons dans les places fortes et n'en bougeons plus, car le SEIGNEUR notre Dieu nous empêche de bouger, il nous fait boire de l'eau empoisonnée. Oui, nous sommes fautifs envers le SEIGNEUR.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV