Un rapport alarmant de Planète vivante du WWF indique que la biodiversité de la Terre est en fort déclin et que cela nuit fortement aux espèces animales. Par voie de conséquence, ces quarante dernières années, plus de la moitié des vertébrés a disparu.
Par la faute de l’homme, la « population mondiale de poissons, d’oiseaux, de mammifères, d’amphibiens et de reptiles a régressé de 58 % entre 1970 et 2012 », selon l’étude.
Le déclin des animaux sauvages est le plus préoccupant puisqu’il pourrait atteindre en moyenne 67 % d’ici la fin de la décennie, apprend-on.
Au-delà de la vie animale, les forêts tropicales pourraient complètement avoir disparu de la surface de la Terre d’ici 2050.
L’agriculture quant à elle, est la cause de 80 % de la déforestation mondiale et utilise environ 70 % de la consommation d’eau.
Notre planète ne peut plus subvenir à nos besoins. Le 8 aout dernier, l’humanité avait déjà consommé l’ensemble des ressources que la planète et il faudrait à ce rythme l’équivalent de 1,6 fois notre Terre pour répondre à la consommation mondiale.
« Sans les espèces qu’ils abritent, les écosystèmes vont s’effondrer emportant avec eux les services qu’ils nous rendent qu’il s’agisse d’air pur, d’eau ou de nos moyens de subsistance […] Plus nous irons loin au-delà des limites de la Terre, plus nous compromettrons notre propre avenir », a déclaré Marco Lambertini, directeur général du WWF International.
Les famines et certaines catastrophes naturelles de plus en plus nombreuses seront des conséquences inévitables de l’effondrement de la biodiversité.
L’homme est en train de détruire l’œuvre de Dieu, c’est n’en doutons pas, un autre signe de la fin des temps.
Matthieu 24 : 7
« Une nation s’élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume, et il y aura, en divers lieux, des famines et des tremblements de terre. »