- Ils changent le droit en poison et traînent la justice à terre. - Lire dans le contexte
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- Est-ce que des chevaux galopent sur les rochers, y laboure-t-on avec des boeufs, pour que vous fassiez tourner le droit en poison et le fruit de la justice en ciguë ?
- ceux qui se détournent du SEIGNEUR, qui ne le recherchent pas et ne le consultent pas.
- On prononce des paroles, on fait de faux serments, on conclut des alliances, et le droit pousse comme une plante vénéneuse sur les sillons des champs.
- N'est-ce pas toi qui, dès l'origine, es le SEIGNEUR, mon Dieu, mon Saint ? Nous ne mourrons pas ! SEIGNEUR, tu l'as établi pour le jugement ; Rocher, tu l'as affermi pour un rappel à l'ordre.
- Eh bien ! puisque vous pressurez l'indigent, lui saisissant sa part de grain, ces maisons en pierre de taille que vous avez bâties, vous n'y résiderez pas ; ces vignes de délices que vous avez plantées, vous n'en boirez pas le vin.
- Quand le juste se détourne de sa justice, commet un méfait et en meurt,
- Toi fils d'homme, dis aux gens de ton peuple : La justice du juste ne le sauvera pas le jour de sa révolte et la méchanceté du méchant ne le fera pas trébucher le jour où il se détournera de sa méchanceté. Le juste ne pourra pas vivre de sa justice le jour où il péchera.
- Quant au juste qui se détourne de sa justice et commet le crime à la mesure de toutes les abominations qu'avait commises le méchant : peut-il les commettre et vivre ? De toute la justice qu'il avait pratiquée, on ne se souviendra pas. A cause de son infidélité et du péché qu'il a commis, c'est à cause d'eux qu'il mourra.
- Si un juste se détourne de sa justice et commet l'injustice, je le ferai trébucher : il mourra — c'est parce que tu ne l'auras pas averti qu'il mourra de son péché — ; on ne se souviendra plus de la justice qu'il avait pratiquée ; mais c'est à toi que je demanderai compte de son sang.
- se révolter, renier le SEIGNEUR, se rejeter en arrière loin de notre Dieu, projeter extorsion et détournement, du fond du coeur concevoir et roucouler des paroles trompeuses.
- Malheur à ceux qui prescrivent des lois malfaisantes et, quand ils rédigent, mettent par écrit la misère :
- La vigne du SEIGNEUR, le tout-puissant, c'est la maison d'Israël, et les gens de Juda sont le plant qu'il chérissait. Il en attendait le droit, et c'est l'injustice. Il en attendait la justice, et il ne trouve que les cris des malheureux.
- Tes chefs sont des rebelles, complices des voleurs. Tous, ils aiment les présents, ils courent après les gratifications. Ils ne rendent pas justice à l'orphelin, et la cause de la veuve n'arrive pas jusqu'à eux.
- Mais les dévoyés aux menées tortueuses, que le SEIGNEUR les chasse avec les malfaisants ! La paix sur Israël !
- Car il se voit d'un oeil trop flatteur pour trouver sa faute et la détester.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV