- C'est qu'il y a tel homme ? qui Dieu donne des richesses, des biens, et des honneurs, en sorte qu'il ne manque rien ? son ?me de tout ce qu'il saurait souhaiter; mais Dieu ne l'en fait pas le ma?tre pour en manger, et un étranger le mangera; cela est une vanité, et un mal f?cheux. - Lire dans le contexte
Versets semblables
- Aussi ce que Dieu donne de richesses et de biens ? un homme, quel qu'il soit, et dont il le fait ma?tre, pour en manger, et pour en prendre sa part, et pour se réjouir de son travail, c'est l? un don de Dieu.
- Eternel, délivre-moi par ta main de ces gens, des gens du monde, desquels le partage est en cette vie, et dont tu remplis le ventre de tes provisions; leurs enfants sont rassasiés, et ils laissent leurs restes ? leurs petits enfants.
- Et m?me je t'ai donné ce que tu n'as point demandé, savoir les richesses et la gloire, de sorte qu'il n'y aura point eu de Roi semblable ? toi entre les Rois, tant que tu vivras.
- Les yeux leur sortent dehors ? force de graisse; ils surpassent les desseins de leur coeur.
- Puis je dirai ? mon ?me: mon ?me, tu as beaucoup de biens assemblés pour beaucoup d'années, repose-toi, mange, bois, et fais grande ch?re.
- Leurs maisons jouissent de la paix loin de la frayeur; la verge de Dieu n'est point sur eux.
- Les étrangers ont dévoré sa force, et il ne l'a point connu; les cheveux blancs sont déj? parsemés en lui, et il n'en a rien connu.
- ? Roi! le Dieu souverain avait donné ? Nébucadnetsar ton p?re, le Royaume, la magnificence, la gloire et l'honneur.
- Notre héritage a été renversé par des étrangers, nos maisons par des forains.
- Et c'est aussi un mal f?cheux, que comme il est venu, il s'en va de m?me; et quel avantage a-t-il d'avoir travaillé apr?s du vent?
- C'est qu'il y a tel qui est seul, et qui n'a point de second, qui aussi n'a ni fils ni fr?re, et qui cependant ne met nulle fin ? son travail; m?me son oeil ne voit jamais assez de richesses, et il ne dit point en lui-m?me: Pour qui est-ce que je travaille, et que je prive mon ?me du bien? Cela aussi est une vanité, et une f?cheuse occupation.
- Puis j'ai regardé tout le travail, et l'adresse de chaque métier, et j'ai vu que l'un porte envie ? l'autre; cela aussi est une vanité, et un rongement d'esprit.
- L'étranger qui est au milieu de toi, montera au dessus de toi bien haut, et tu descendras bien bas.
- Ainsi l'Eternel éleva souverainement Salomon, ? la vue de tout Isra?l; et lui donna une majesté Royale, telle qu'aucun Roi avant lui n'en avait eue en Isra?l.
- Et Dieu dit ? Salomon: Parce que tu as désiré ces avantages, et que tu n'as point demandé des richesses, ni des biens, ni de la gloire, ni la mort de ceux qui te ha?ssent, et que tu n'as pas m?me demandé de vivre longtemps, mais que tu as demandé pour toi de la sagesse et de la connaissance, afin de pouvoir juger mon peuple, sur lequel je t'ai établi Roi;
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