- Le pays est en deuil, il dépérit. Le Liban perd la face, il se flétrit. Le Sharôn devient comme la Araba. Le Bashân et le Carmel se dégarnissent. - Lire dans le contexte
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- qu'elle se couvre de fleurs des champs, qu'elle saute et danse et crie de joie ! La gloire du Liban lui est donnée, la splendeur du Carmel et du Sharôn, et on verra la gloire du SEIGNEUR, la splendeur de notre Dieu.
- Le Sharôn deviendra parc à petit bétail, la vallée de Akor, litière pour gros bétail, au profit de mon peuple, qui m'aura recherché.
- Il fulmine contre la mer et la met à sec ; il tarit toutes les rivières. Ils dépérissent, le Bashân et le Carmel ; la flore du Liban dépérit.
- contre tous les cèdres du Liban, hautains et altiers, et contre tous les chênes du Bashân,
- Je suis un narcisse de la Plaine, un lis des vallées.
- Ouvre tes portes, Liban, et que le feu dévore tes cèdres.
- Fais paître ton peuple sous ta houlette, le troupeau, ton patrimoine, qui demeure solitaire dans un maquis, au milieu des vergers. Qu'il pâture dans le Bashân et le Galaad, comme aux jours d'autrefois.
- Je vais ramener Israël vers ses pâturages et il paîtra le Carmel et le Bashân, et son appétit sera rassasié sur les montagnes d'Ephraïm et du Galaad.
- On crie : « Désastre sur désastre ! » Oui, tout le pays est dévasté. Soudain mon campement est dévasté, en un instant, mes tentes.
- Par tes messagers, tu as insulté le Seigneur. Tu as dit : “Avec la multitude de mes chars, je suis monté au sommet des montagnes, aux retraites inaccessibles du Liban, pour couper la futaie de ses cèdres, les plus beaux de ses cyprès, et atteindre son plus haut refuge, son parc forestier.
- Votre pays est désolé, vos villes brûlées, votre terre, devant vous, des étrangers la dévorent : elle est désolée et comme bouleversée par l'envahisseur.
- La terre en deuil se dégrade, le monde entier dépérit et se dégrade, avec la terre dépérissent les hauteurs.
- Voici que le SEIGNEUR dévaste la terre et la ravage, il en bouleverse la face, il en disperse les habitants,
- Même les cyprès se réjouissent à cause de toi et, depuis que tu es étendu, les cèdres du Liban disent : « Il ne montera plus, celui qui venait nous abattre. »
- Tes portes gémiront et se lamenteront et, dans le dénuement, tu seras assise à terre.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV