• Moi, je n'ai pas abondé dans ton sens en hâtant le malheur, le jour fatal, je ne l'ai pas souhaité, toi, tu le sais : ce qui est sorti de ma bouche a été exprimé en ta présence. - Lire dans le contexte

Versets semblables

  • Mon ventre ! mon ventre ! je me tords de douleur ! Les parois de mon coeur ! C'est le tumulte en moi, je ne puis me taire, car je perçois l'alerte du cor, le hourra de guerre.
  • Vous êtes savants, mes frères bien-aimés. Pourtant, que nul ne néglige d'être prompt à écouter, lent à parler, lent à se mettre en colère,
  • Nous ne sommes pas en effet comme tant d'autres qui trafiquent de la parole de Dieu ; c'est avec sincérité, c'est de la part de Dieu, à la face de Dieu, dans le Christ, que nous parlons.
  • Car notre sujet de fierté, c'est ce témoignage de notre conscience : nous nous sommes conduits dans le monde, et plus particulièrement envers vous, avec la simplicité et la pureté de Dieu, non avec une sagesse humaine, mais par la grâce de Dieu.
  • En Christ je dis la vérité, je ne mens pas, par l'Esprit Saint ma conscience m'en rend témoignage :
  • Je n'ai vraiment rien négligé : au contraire, c'est le plan de Dieu tout entier que je vous ai annoncé.
  • Je n'ai rien négligé de ce qui pouvait vous être utile ; au contraire, j'ai prêché, je vous ai instruits, en public comme en privé ;
  • Amos répondit à Amacya : « Je n'étais pas prophète, je n'étais pas fils de prophète, j'étais bouvier, je traitais les sycomores ;
  • C'est donc toi, fils d'homme, que j'ai établi guetteur pour la maison d'Israël ; tu écouteras la parole qui sort de ma bouche et tu les avertiras de ma part.
  • Alors l'Esprit me souleva et m'emporta ; j'allai, amer et l'esprit irrité ; la main du SEIGNEUR était sur moi, très dure.
  • Quand je dis : « Je n'en ferai plus mention, je ne dirai plus la parole en son nom », alors elle devient au-dedans de moi comme un feu dévorant, prisonnier de mon corps ; je m'épuise à le contenir, mais n'y arrive pas.
  • Rend-on le mal pour le bien ? Eux, ils m'entourent de pièges fatals. Rappelle-toi comme je me suis tenu devant toi pour parler en leur faveur et détourner d'eux ta fureur.
  • Tu leur diras cette parole : Mes yeux fondent en larmes, nuit et jour, sans trêve : un grand désastre a brisé la vierge, mon peuple, un coup meurtrier.
  • Si vous n'écoutez pas je vais me désoler dans mon coin à cause d'une telle suffisance ; mes yeux vont pleurer, pleurer, fondre en pleurs : le troupeau du SEIGNEUR part en captivité !
  • Que n'ai-je au désert un gîte de caravaniers ? J'abandonnerais mon peuple, je le planterais là : tous sont des adultères, un ramassis de traîtres.

En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV