- Les cris de Heshbôn et de Eléalé vont jusqu'à Yahaç. On élève la voix de Coar jusqu'à Horonayim et à Eglat-Shelishiyya, car même les eaux de Nimrim deviennent un lieu désolé. - Lire dans le contexte
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- Heshbôn et Éléalé ont crié, jusqu'à Yahaç leur voix s'est fait entendre. C'est pourquoi les guerriers de Moab frémissent, son âme frémit sur son propre sort.
- « Atarot, Dibôn, Yazèr, Nimra, Heshbôn, Éléalé, Sebam, Nebo et Méôn,
- Lot leva les yeux et vit toute la Plaine du Jourdain qui était partout irriguée - c'était avant que Yahvé ne détruisît Sodome et Gomorrhe - comme le jardin de Yahvé, comme le pays d'Égypte, jusque vers Çoar.
- Bet-Nimra, Bet-Harân, villes fortes, et des parcs pour le petit bétail.
- le Négeb, le district de la vallée de Jéricho, ville de palmiers, jusqu'à Çoar.
- elle n'est plus, la fierté de Moab ! A Heshbôn on a machiné son malheur : « Allons ! Supprimons-la d'entre les nations ! » Toi aussi, Madmèn, tu seras réduite au silence, l'épée te serre de près.
- Oui, la montée de Luhit, on la monte en pleurant. Oui, à la descente de Horonayim, on entend une clameur de désastre :
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