- Là-bas, au bord des fleuves de Babylone, nous restions assis tout éplorés en pensant à Sion. - Lire dans le contexte
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- La trentième année, le quatrième mois, le cinq du mois, j'étais au milieu des déportés, près du fleuve Kebar ; les cieux s'ouvrirent et j'eus des visions divines.
- Leur coeur crie vers le Seigneur. Rempart de la Belle Sion, laisse couler tes larmes comme un torrent jour et nuit ; ne te donne pas de répit ; que la pupille de ton oeil ne tarisse pas.
- Assis à terre, silencieux, les anciens de la Belle Sion se mettent de la poussière sur la tête ; ils se sanglent dans des sacs. Elles laissent choir leur tête jusqu'à terre, les jeunes filles de Jérusalem.
- C'est là-dessus que je pleure : mes deux yeux se liquéfient ; car loin de moi est le consolateur, celui qui me ranimerait. Mes fils, les voilà ruinés, car l'ennemi a été le plus fort. »
- Vous, les rescapés de l'épée, en route ! Ne vous arrêtez pas. Invoquez de loin le SEIGNEUR, et que la pensée de Jérusalem vous revienne à l'esprit.
- Je ne vais pas chercher ma joie en fréquentant ceux qui s'amusent. Contraint par ta main je reste à l'écart, car tu m'as rempli d'indignation.
- Si vous n'écoutez pas je vais me désoler dans mon coin à cause d'une telle suffisance ; mes yeux vont pleurer, pleurer, fondre en pleurs : le troupeau du SEIGNEUR part en captivité !
- Jubilez avec Jérusalem, exultez à son sujet, vous tous qui l'aimez. Avec elle, soyez enthousiastes, oui, enthousiasmés, vous tous qui aviez pris le deuil pour elle.
- Tous les jours mes ennemis m'outragent, furieux contre moi, ils maudissent par moi.
- Jour et nuit, mes larmes sont mon pain, quand on me dit tous les jours : « Où est ton Dieu ? »
- Levant leurs yeux de loin, ils ne le reconnurent pas. Ils pleurèrent alors à grands cris. Chacun déchira son manteau, et ils jetèrent en l'air de la poussière qui retomba sur leur tête.
- Je dis au roi : « Que le roi vive pour toujours ! Comment mon visage ne serait-il pas triste lorsque la ville où sont les tombeaux de mes pères est dévastée, et que ses portes sont dévorées par le feu ? »
- Ils me dirent : « Ceux qui sont restés de la captivité, là-bas dans la province, sont dans un grand malheur et dans la honte ; la muraille de Jérusalem a des brèches et ses portes ont été incendiées. »
- Nous partîmes de la rivière Ahawa le douze du premier mois pour aller à Jérusalem. La main de notre Dieu était sur nous et, pendant la route, il nous arracha des mains de l'ennemi et du pillard en embuscade.
- Je proclamai là, près de la rivière Ahawa, un jeûne pour nous humilier devant notre Dieu afin de rechercher la faveur de cheminer sans encombre, nous et nos enfants, avec nos bagages.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV