◀ 26 MAI ▶ Les Trésors De La Foi
Vous servirez l'Éternel votre Dieu, et il bénira ton pain et tes eaux, et j'ôterai la maladie du milieu de toi. Exode 23:25
Les choses les plus communes sont bénies
Quelle promesse! Servir Dieu est déjà en soi-même un délice. Mais quel privilège s'y ajoute, si sa bénédiction repose encore sur nous en tout. Les choses les plus ordinaires deviennent sanctifiées et bénies, quand nous-mêmes sommes consacrés au Seigneur. Le Seigneur Jésus prit du pain et le bénit: pour nous aussi, le pain que nous mangeons est un pain béni. Jésus bénit l'eau et en fit du vin: l'eau que nous buvons est infiniment meilleure qu'aucun des vins qui réjouissent les hommes; chacune de ses gouttes porte avec elle une grâce. La bénédiction divine repose sur l'homme de Dieu en toutes choses, et demeure avec lui en tout temps.
Et si nous n'avons que du pain et de l'eau? Eh bien! Ce pain et cette eau sont bénis. Le pain et l'eau, nous les aurons; condition nécessaire, car il faut qu'ils existent pour que Dieu puisse les bénir: "son pain lui sera donné, ses eaux ne manqueront point." Esaïe 33:16. Avec Dieu à notre table, non seulement nous demandons une bénédiction, mais nous l'avons. Ce n'est pas à l'autel seulement, mais à table que nous la recevons. Il sert bien ceux qui le servent bien. Et cette bénédiction de la table n'est pas un dû, mais une grâce; grâce triple en réalité: il nous accorde la grâce de le servir; par grâce aussi, et pour ce service, il nous nourrit de pain; et sa grâce, enfin, bénit encore ce pain.
Et si nous n'avons que du pain et de l'eau? Eh bien! Ce pain et cette eau sont bénis. Le pain et l'eau, nous les aurons; condition nécessaire, car il faut qu'ils existent pour que Dieu puisse les bénir: "son pain lui sera donné, ses eaux ne manqueront point." Esaïe 33:16. Avec Dieu à notre table, non seulement nous demandons une bénédiction, mais nous l'avons. Ce n'est pas à l'autel seulement, mais à table que nous la recevons. Il sert bien ceux qui le servent bien. Et cette bénédiction de la table n'est pas un dû, mais une grâce; grâce triple en réalité: il nous accorde la grâce de le servir; par grâce aussi, et pour ce service, il nous nourrit de pain; et sa grâce, enfin, bénit encore ce pain.