Par une belle journée ensoleillée, quatre étudiants avaient décidé de « sécher » leurs cours. Le lendemain, ils expliquent à leur jeune professeur qu’ils ont eu une crevaison. A leur grand soulagement, elle sourit en leur disant : « Ce n’est pas trop grave pour le devoir d’hier. Je vais vous interroger sur un autre sujet. Asseyez-vous à vos places, prenez une feuille et un stylo ». Nos étudiants s’asseyent, plutôt satisfaits de leur ruse. « Voici la première question, reprend le professeur : Lequel des quatre pneus était crevé ? » On imagine la suite...

Cette anecdote illustre les limites du mensonge. Tôt ou tard, il est dévoilé. Alors arrivent le ridicule et la honte. Mais il y a davantage. La vérité est un des attributs de Dieu, si bien que lorsque nous mentons, nous l’offensons. Un jour, il dévoilera tout ce qui est faux. Si ce n’est pas sur cette terre, ce sera devant le tribunal de Dieu lorsque chacun lui rendra compte pour lui-même (Romains 14 : 10-12).

Parfois, nous pouvons être fortement tentés de ne dire qu’une partie de la vérité pour sauvegarder nos intérêts, notre réputation, ou échapper à la souffrance. N’oublions jamais que Dieu nous voit. Si nous avons menti à quelqu’un, confessons-le-lui, ainsi qu’au Seigneur. C’est une étape humiliante, mais elle est indispensable pour libérer notre conscience et retrouver la communion avec Dieu. Chrétiens, l’Esprit de Dieu est un Esprit de vérité. Il veut nous guider dans des chemins de droiture pour la gloire du Seigneur Jésus et pour notre liberté.