◀ 19 JANVIER ▶ La Bonne Semence
Le chrétien et les promesses de Dieu
« Une promesse de Dieu peut être comparée à un chèque payable sur présentation. Elle est donnée au croyant afin qu’il en retire une grâce, non pour qu’il la lise superficiellement, puis la mette de côté. Comme un chèque qu’il reçoit et signe, le chrétien doit considérer une promesse comme une réalité, s’appliquant à lui personnellement. Par la foi il l’accepte et se l’approprie, attestant ainsi que Dieu est vrai, et fidèle quant à cette promesse particulière. En conséquence, il estime posséder déjà la bénédiction dont il a la promesse, et en donne par avance le reçu, signé de son nom. Après quoi, il prie avec confiance pour recevoir la grâce promise. Il y a des gens qui négligent de signer le chèque, en sorte qu’il ne leur est rien payé ; d’autres tardent à le présenter, et ne reçoivent rien non plus. La faute n’est pas à celui qui fait la promesse, mais à ceux qui ne s’en saisissent pas d’une manière pratique et personnelle...
J’ai été frappé par beaucoup de fléaux : de violentes douleurs physiques, l’accablement d’esprit, le deuil... Vague après vague, les eaux passaient continuellement sur moi. J’ai traversé des océans qui étaient loin d’être des océans pacifiques ; je connais le roulement de la mer et la violence des vents, et jamais les promesses de l’Éternel ne m’ont été si précieuses que dans ces heures-là. «
- d’après C.H. Spurgeon