◀ 23 FÉVRIER ▶ La Bonne Semence
Ne commets pas d’adultère
Voici le grand jour arrivé ! Dans une mairie de France, les futurs mariés écoutent Monsieur le Maire qui lit les articles du Code Civil établi par Napoléon en 1804 : « Article 212 – Les époux se doivent mutuellement fidélité ... » Cet engagement sera-t-il respecté par ce couple ? Et savent-ils que la fidélité est un commandement de Dieu, le septième de sa Loi : « Tu ne commettras pas d’adultère » ? Force est de reconnaître que dans notre société permissive, la fidélité est considérée comme une vertu ringarde. Les relations sexuelles hors du couple sont la norme dans les films, les romans, les chansons. On ne parle plus d’adultère, mais de liaison, d’aventure. La quête du plaisir personnel, égoïste, vide la sexualité de sa dimension morale, de son sens biblique. En donnant ce commandement, Dieu connaissait les besoins de sa créature : besoin de sécurité, besoin de se sentir aimé tel que l’on est dans les bons et les mauvais jours, besoin de rendre heureux son conjoint en donnant et en se donnant. L’infidélité dans le couple piétine ces besoins fondamentaux, entraîne des souffrances et souvent l’éclatement d’une famille : premières victimes, les enfants sont souvent marqués à vie. La société actuelle en perte de valeurs et de repères en donne la preuve. Non, la loi de Dieu n’est pas dépassée ou irréaliste. Ce n’est pas le choix de la facilité, mais Jésus Christ promet son aide à ceux qui désirent lui obéir.