Le décès d’un proche est toujours un moment très difficile. Quel déchirement que la séparation définitive d’avec un être cher ! Certains sont accablés de tristesse, d’autres s’endurcissent ou se révoltent... Le chrétien qui porte en terre un de ses frères dans la foi pleure, lui aussi, mais il a une espérance.

Ce qui le console, c’est de savoir que la mort est vaincue. Sa certitude se fonde sur la Parole de son Dieu ; laissons-la parler :

« Christ est mort pour nos péchés, selon les Écritures ; il a été enseveli, et il a été ressuscité le troisième jour... Il a été vu de Céphas, puis des douze. Ensuite il a été vu de plus de cinq cents frères à la fois... Or si Christ est prêché comme celui qui a été ressuscité d’entre les morts, comment certains parmi vous peuvent-ils dire qu’il n’y a pas de résurrection de morts ? Mais s’il n’y a pas de résurrection de morts, Christ non plus n’a pas été ressuscité ; et si Christ n’a pas été ressuscité, alors notre prédication est vaine, et votre foi aussi est vaine... Si c’est pour cette vie seulement que nous avons espérance en Christ, nous sommes plus malheureux que tous les hommes...

Mais, maintenant, Christ a été ressuscité d’entre les morts, prémices (le premier) de ceux qui sont endormis... Tous seront rendus vivants ; mais chacun dans son propre rang : les prémices, Christ ; puis ceux qui sont du Christ, à sa venue« (1 Corinthiens 15 : 3-23).

Qui sont-ils, « ceux qui sont endormis », « ceux qui sont du Christ » ? Ce sont tous ceux qui l’ont accepté comme leur Sauveur. Est-ce votre cas ?