Une étude menée durant le mois de juillet de cette année révèle que 65 % des Français trouvent qu’il est aujourd’hui plus difficile de s’occuper de sa famille qu’il y a trente ans.
Publiée sur le site ADMR.org, le sondage réalisé par l’institut Kantar Sofres, révèle les raisons qui expliquent qu’il soit plus difficile de s’occuper de sa famille de nos jours. Celles qui reviennent le plus souvent sont l’augmentation du chômage et de la précarité (pour 54 % des sondés), la baisse du pouvoir d’achat (54 %), la perte des valeurs traditionnelles (46 %), la montée de l’individualisme (46 %) et enfin l’éloignement géographique (45 %).
On reconnaitra bien volontairement que ces valeurs dites « traditionnelles » dont il est question, reposent essentiellement sur des valeurs judéo-chrétiennes que la France est en train de délaisser. Il n’est donc point étonnant de constater la montée de l’individualisme – ici pointée du doigt, puisqu’elle découle directement de cet abandon.
L’étude nous apprend également que si 78 % des répondants estiment que le gouvernement n’aide pas assez les citoyens qui font face à des situations financières compliquées (hospitalisation, naissance multiple…), 77 % d’entre eux reconnaissent que les membres d’une même famille sont de moins en moins solidaires dans ce genre de circonstance. Ainsi, 63 % des sondés ne se sentiraient pas à la hauteur de surmonter seuls, une situation compliquée.
Une solution pour les chrétiens
En tant que chrétiens nous n’avons point à nous inquiéter car Dieu nous a fait des promesses et il est juste pour répondre à notre foi.
On lit dans l’Épitre aux Philippiens, au chapitre 4 et aux versets 6 et 7 :
« Ne vous inquiétez de rien ; mais en toute chose faites connaitre vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos pensées en Jésus-Christ. »
Et dans Matthieu 6.25-33 :
« C’est pourquoi je vous dis : Ne vous inquiétez pas pour votre vie de ce que vous mangerez, ni pour votre corps, de quoi vous serez vêtus. La vie n’est-elle pas plus que la nourriture, et le corps plus que le vêtement ? Regardez les oiseaux du ciel : ils ne sèment ni ne moissonnent, et ils n’amassent rien dans des greniers ; et votre Père céleste les nourrit. Ne valez-vous pas beaucoup plus qu’eux ? Qui de vous, par ses inquiétudes, peut ajouter une coudée à la durée de sa vie ? Et pourquoi vous inquiéter au sujet du vêtement ? Considérez comment croissent les lis des champs : ils ne travaillent ni ne filent ; cependant je vous dis que Salomon même, dans toute sa gloire, n’a pas été vêtu comme l’un d’eux. Si Dieu revêt ainsi l’herbe des champs, qui existe aujourd’hui et qui demain sera jetée au four, ne vous vêtira-t-il pas à plus forte raison, gens de peu de foi ? Ne vous inquiétez donc point, et ne dites pas : Que mangerons-nous ? Que boirons-nous ? De quoi serons-nous vêtus ? Car toutes ces choses, ce sont les païens qui les recherchent. Votre Père céleste sait que vous en avez besoin. Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu ; et toutes ces choses vous seront données par-dessus. »
Il y a cependant une condition à cette promesse et qui est « Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu ». C’est ici une condition qu’il ne faut pas omettre pour voir la main de Dieu dans sa vie. Ne cherchons pas l’argent pour nous amasser un trésor périssable sur cette Terre et ne nous laissons pas absorber par les soucis de la vie mais regardons à Jésus, cherchons sa présence dans notre intimité, soyons acteurs du Royaume de Dieu sur Terre et Il pourvoira à TOUS nos besoins, c’est certain !
Enfin, supportons notre famille et honorons nos parents, inondons-les d’amour, car ce sont là des clés pour ouvrir les écluses des cieux.