◀ 18 AOÛT ▶ 365 jours pour ranimer la flamme
Rien ne nous séparera de l’amour de Jésus
Lorsque nous n’avions point la foi en l’œuvre salvatrice de la croix, le péché nous coupait de la présence de Dieu. Mais depuis que nous avons abandonné notre vie à Christ qui a offert Sa vie pour nous racheter du péché et de la mort, le Père nous voit comme des Saints, si bien que dorénavant, rien au monde ou dans l’univers ne peut ni ne pourra jamais nous séparer de Son amour... (cf. 1 Pierre 2.9).
Nos tricheries, nos convoitises, nos manquements, nos erreurs, nos comportements médiocres, nos viles pensées, nos bouches mauvaises, etc., ne peuvent nous priver de l’amour inconditionnel de Dieu pour nous. Oui, il n’y a rien que nous puissions faire de plus, de meilleur ou de spécial pour mériter cet amour, mais également rien que nous puissions faire pour en être destitués ! Ainsi, selon la parabole du fils prodigue, le pécheur qui vient ou revient à Lui est reçu à bras ouverts, sans jugement ni la moindre accusation. Dieu est bon et miséricordieux. Il se réjouit lorsqu’un nouveau membre vient agrandir Sa famille, mais Il est également particulièrement touché et heureux lorsqu’un enfant rebelle retourne à Lui et se repent sincèrement. Oui, nous sommes Son bien le plus précieux et, dans Son amour à la fois inexplicable et extraordinaire, le Père espère et se languit de celui qui s’est éloigné de Lui ; c'est pourquoi lorsque celui-ci revient, Il court à sa rencontre, Il lui enfile une tunique blanche, lui met une bague au doigt, et lui prépare les meilleurs mets (cf. Luc 15).
Dieu est amour. C’est Sa nature et Il ne peut se renier Lui-même. En conséquence, quoi que nous vivions, subissions ou traversions, notre Père céleste se tient toujours prêt à nous pour nous venir en aide. Et s’il advient que nous marchions sur des chemins de traverse et nous éloignons de Sa maison, Il espère notre retour et se réjouit de nous voir revenir à Lui. Et là, toute la dimension de Son amour se voit à travers Ses pieds qui courent vers nous, Ses bras qui nous accueillent généreusement, Sa Parole qui nous donne un festin de promesses et Ses mains qui nous lavent de nos souillures, qui pansent nos blessures, qui nous bénissent et nous remettent en marche ! (cf. 1 Jean 4.16).