Dans une publication sur sa page Facebook, l’évangéliste Reinhard Bonnke revient sur les premiers pas de l’évangélisation, peu après la première Pentecôte, alors que les disciples venaient d’être baptisés du Saint-Esprit.
Voici ce qu’il écrit dans son article intitulé « La Bonne Nouvelle c’est Jésus » :
A ses débuts, l’évangélisation était interculturelle. C’était un développement extrêmement important et quelque chose de tout à fait nouveau et étonnant dans le monde. La plus grande force de changement jamais connue dans toutes les cultures.
Entre la culture juive de Pierre et l’affluence sophistiquée d’un fonctionnaire romain, le golfe de la pensée était aussi large que le Grand Canyon. Mais Dieu s’occupait du messager, Pierre. Il avait une vision juive assez stricte, de même que les dirigeants qui étaient avec lui. Normalement, les Juifs ne se rendaient jamais dans une maison de non-juifs. La vision cependant, a aidé Pierre à changer sa mentalité et à briser les tabous et les traditions. Il a compris le but plus ambitieux de Dieu et, alors que les hommes sont arrivés de Césarée, il était prêt à aller avec eux.
Le message portait entièrement sur Jésus… Il était celui que tous avaient prophétisé. La vérité chrétienne n’est pas une série de déclarations, ni un code d’éthique, ni un programme d’observance religieuse. Jésus est la vérité. Le christianisme est le Christ.
Il n’est pas nécessaire d’attaquer l’Islam, ni aucune autre religion. Il n’est pas nécessaire d’attaquer le mode de vie de quiconque… Tout ce que nous devons faire, c’est simplement de les laisser voir par eux-mêmes ce que Jésus est ; comme le dit la Bible, nous devons les encourager à « sentir et à voir que le Seigneur est bon » (Psaume 34:8). À la fin du jour, c’est toujours Jésus qui gagne et personne ne peut lui tenir tête. Personne d’autre ne sauve et ne guérit, chasse les démons et remplit les gens de joie.