Une réponse douce fait rentrer la colère, mais une parole blessante fait monter l'irritation.

La langue des sages rend la science aimable, mais la folie fermente dans la bouche des sots.

Les yeux du SEIGNEUR sont partout, observant les méchants et les bons.

Une parole réconfortante est un arbre de vie ! La perversité s'y mêle-t-elle ? C'est la consternation.

Un fou méprise l'éducation de son père, qui tient compte de l'avertissement est bien avisé.

C'est un grand trésor que la maison du juste, mais le revenu du méchant est trouble.

Les lèvres du sage diffusent le savoir, le coeur des sots, c'est tout autre chose !

Le sacrifice des méchants est en horreur au SEIGNEUR, il se complaît à la prière des hommes droits.

La conduite des méchants est en horreur au SEIGNEUR, mais il aime qui aspire à la justice.

Sévère correction pour qui abandonne le chemin, qui déteste l'avertissement mourra.

Le Séjour des morts et l'Abîme sont devant le SEIGNEUR, combien plus les coeurs des humains !

L'esprit fort n'aime pas qui l'avertit, il ne va pas vers les sages.

Un coeur joyeux rend aimable le visage, mais dans le chagrin l'esprit est abattu.

Un coeur intelligent recherche le savoir, mais la bouche des sots broute la folie !

Tous les jours du malheureux sont mauvais, mais la vie de l'homme heureux est un festin perpétuel !

Mieux vaut peu de biens avec la crainte du SEIGNEUR qu'un grand trésor avec du tracas.

Mieux vaut un plat de légumes là où il y a de l'amour qu'un boeuf gras assaisonné de haine.

L'homme irascible provoque la querelle, qui garde son sang-froid apaise l'altercation.

Le chemin du paresseux n'est jamais qu'un roncier, mais la route des hommes droits est bien frayée.

Un fils sage réjouit son père, mais un sot méprise sa mère.

La folie fait la joie de l'insensé, mais qui est intelligent va droit son chemin.

Les projets avortent faute de délibération, avec de nombreux conseillers ils tiendront.

Joie pour un homme dans ses reparties ! Un mot dit à propos, comme c'est bon !

Le chemin de vie mène en haut l'homme avisé, le détournant d'en bas, du Séjour des morts.

Le SEIGNEUR renverse la maison des orgueilleux mais affermit la borne de la veuve.

Les calculs pervers sont en horreur au SEIGNEUR, mais les paroles bienveillantes sont pures.

Qui pratique la rapine jette le trouble chez lui, mais qui déteste les pots-de-vin vivra.

Le juste réfléchit avant de répondre, mais les méchants vomissent des insanités.

Le SEIGNEUR se tient à distance des méchants mais il écoute la prière des justes.

Un regard lumineux donne une joie profonde, une bonne nouvelle donne des forces.

Qui prête une oreille attentive à un avertissement salutaire habitera parmi les sages.

Qui rejette l'éducation se méprise lui-même, mais qui écoute l'avertissement acquiert du bon sens.

La crainte du SEIGNEUR est une discipline de sagesse ; avant la gloire : l'humilité.