◀ 6 MAI ▶ Les Trésors De La Foi
Que ton coeur ne porte point envie aux pécheurs; mais adonne-toi à la crainte de l'Éternel continuellement. Proverbes 23:17-18
Le remède contre l'envie
Quand nous voyons prospérer les méchants, nous sommes portés à les envier et quand nous les entendons s'égayer tandis que nous avons le coeur attristé, nous sommes tentés de croire que leur part est meilleure. Mais c'est là folie et péché. Si nous les connaissons mieux et si nous considérions leur fin, nous aurions bien plutôt pitié d'eux.
Le remède contre cette envie, c'est de demeurer constamment et tout le jour dans le sentiment de la présence de Dieu, l'adoration et la communion avec lui. Une religion véritable portera notre âme dans des régions supérieures où notre jugement deviendra plus clair et nos désirs plus purs. Plus le ciel aura de part dans notre vie, moins nous nous attacherons aux choses de la terre. La crainte de Dieu déracinera les convoitises trompeuses.
Nous porterons le coup de mort à l'envie en considérant avec calme la fin du méchant. Sa richesse et sa gloire ne sont qu'un vain étalage. Sa pompeuse apparence éblouit un moment, puis s'éteint. Quel gain a-t-il de sa prospérité, quand le jugement vient à l'atteindre, celui qui réussit dans le péché? Mais l'homme de Dieu, au contraire, a pour fin la paix et la bénédiction, et "nul ne peut lui ravir sa joie." Abandonne donc toute envie et recherche le vrai contentement d'esprit.
Le remède contre cette envie, c'est de demeurer constamment et tout le jour dans le sentiment de la présence de Dieu, l'adoration et la communion avec lui. Une religion véritable portera notre âme dans des régions supérieures où notre jugement deviendra plus clair et nos désirs plus purs. Plus le ciel aura de part dans notre vie, moins nous nous attacherons aux choses de la terre. La crainte de Dieu déracinera les convoitises trompeuses.
Nous porterons le coup de mort à l'envie en considérant avec calme la fin du méchant. Sa richesse et sa gloire ne sont qu'un vain étalage. Sa pompeuse apparence éblouit un moment, puis s'éteint. Quel gain a-t-il de sa prospérité, quand le jugement vient à l'atteindre, celui qui réussit dans le péché? Mais l'homme de Dieu, au contraire, a pour fin la paix et la bénédiction, et "nul ne peut lui ravir sa joie." Abandonne donc toute envie et recherche le vrai contentement d'esprit.