En survolant les grandes agglomérations françaises, on distingue, ici ou là, quelques zones d’espaces verts. La croissance des végétaux dans les villes est une véritable richesse pour celles-ci. Les architectes s’efforcent d’intégrer de plus en plus de parcs et de jardins dans le paysage urbain. Des toits, et même parfois des murs, sont recouverts de verdure. Ces couvertures végétales sont d’excellents isolants acoustiques qui contribuent aussi, grâce à l’évaporation, à rafraîchir l’atmosphère de la ville en été. Elles protègent la biodiversité, car elles constituent un refuge pour beaucoup d’animaux et de plantes.

Vues d’avion, ces zones de vie végétale forment un contraste frappant avec la couleur plus terne des toitures, des façades ou des rues de la ville. N’évoquent-elles pas la vie divine que Dieu discerne chez tous ceux qui ont été amenés à une véritable relation avec lui, par la foi en Jésus Christ, le Sauveur du monde ? Les véritables chrétiens, que le Seigneur connaît, et qui le connaissent, ressemblent à ces plantes qui respirent et se développent, malgré la pollution de la cité. C’est seulement en vivant dans une étroite relation avec Christ que les chrétiens peuvent porter du fruit pour Dieu et briller « comme des luminaires dans le monde » (Philippiens 2 : 15).

Celui qui aime lire la Parole de Dieu et qui la médite est comme un arbre planté près d’un ruisseau, dont le feuillage n’est jamais flétri (Psaume 1 : 2, 3).